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Un mauvais arrangement vaut mieux qu'un bon procès...

Une de nos clientes a été victime en 2008 d'un très grave accident de la circulation alors qu'elle était à peine âgée de 25 ans...Après avoir entamé la procédure habituelle visant à obtenir une expertise judiciaire et des provisions, nous avons du attendre la consolidation, 9 ans après les faits, afin de liquider son préjudice.


Qui n'a pas un jour entendu cette sentence que l'on attribue à Honoré de Balzac.

Dans le cas qui nous occupe, la réalité donne tort à notre cher Honoré. 

Une de nos clientes a été victime en 2008 d'un très grave accident de la circulation alors qu'elle était à peine âgée de 25 ans...Après avoir entamé la procédure habituelle visant à obtenir une expertise judiciaire et des provisions, nous avons du attendre la consolidation, 9 ans après les faits, afin de liquider son préjudice.

Dans l'intervalle notre cliente avait obtenu par l'intermédiaire de notre Cabinet plusieurs provisions d'un montant de 350.000 €. Une question cruciale se posait alors. Soit transiger avec l'assureur, mais à quel prix, soit poursuivre la procédure sachant que dans le cas d'espèce un différend opposait l'assureur du responsable de l'accident et son assuré lui même.

De telle sorte que ce différend pouvait voir intervenir à la procédure un troisième larron : le Fonds de Garantie des Assurances Obligatoire. Autant dire que ce procès risquait de n'en plus finir au grand dam de la victime...

Après moultes discussions et réunions entamées avec l'assureur, nous avons fini par trouver un terrain d'entente évitant ainsi à notre cliente une procédure "à rallonge"...et une éventuelle procédure d'appel.

Au final, notre cliente bénéficiera d'une proposition de réparation sérieuse que notre Cabinet validera, réparant ainsi intégralement le préjudice subi par la victime par l'allocation d'un capital de 1.100.000 € et une rente viagère de 10.000 € par trimestre, soit au total une réparation évaluée à plus de 3.000.000 € !

Finalement Honoré de Balzac n'a qu'à bien se tenir. Force est de constater que les temps changent...les assureurs aussi.

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