Victime d'un AVC lié à une faute médicale ou à un retard de prise en charge ? Découvrez vos droits à indemnisation avec un avocat spécialisé.
29 octobre : Journée mondiale de lutte contre l'AVC
L'AVC première cause de handicap acquis chez l'adulte
Chaque année, près de 150 000 personnes sont victimes d'un accident vasculaire cérébral (AVC) en France. Cette pathologie brutale constitue l'une des principales causes de handicap durable et de dépendance.
Mais derrière les chiffres, il y a des vies bouleversées, des familles désorientées et des parcours médicaux parfois entachés de fautes ou de retards de prise en charge.
Quand la prise en charge de l'AVC engage la responsabilité médicale
L'AVC exige une prise en charge en urgence : chaque minute compte. Certaines situations peuvent ouvrir droit à une indemnisation du dommage corporel, notamment en cas de :
- Retard de diagnostic ou d'orientation vers une unité neuro vasculaire
- Absence de traitement thrombolytique alors que le patient était éligible
- Erreur de dosage médicamenteux ou traitement inadapté
- Défaut d'information sur les risques ou les options thérapeutiques
Dans ces cas, la responsabilité de l'établissement ou du professionnel de santé peut être engagée sur le fondement d'une faute médicale ou d'un défaut d'organisation du service hospitalier.
Indemnisation : évaluer les séquelles de l'AVC
L'évaluation médico-légale du préjudice après un AVC repose sur une expertise médicale indépendante.
Les principaux postes de préjudices évalués sont :
- Le déficit fonctionnel permanent (perte d'autonomie, paralysie, troubles cognitifs)
- Les souffrances endurées (douleur physique et morale)
- Les frais médicaux et d'assistance (aide humaine, ergothérapie, aménagement du domicile)
- Les pertes de gains professionnels et incidence sur la carrière
- Le préjudice moral des proches
L'accompagnement par un avocat expert en réparation du dommage corporel est alors déterminant pour garantir une évaluation juste et complète du préjudice.
L' importance de l'accompagnement juridique
La victime d'un AVC doit faire face à un double combat : la reconstruction physique et la reconnaissance juridique de son préjudice.
L'avocat intervient à chaque étape :
- Constitution du dossier médical
- Organisation de l'expertise
- Négociation avec l'assureur ou la commission de Conciliation (CCI)
- Action judiciaire en cas de refus d'offre ou d'offre insuffisante
En conclusions : prévenir, mais aussi réparer
La journée mondiale de lutte contre l'AVC rappelle l'importance de la prévention et du dépistage, mais aussi du droit à réparation des victimes. Un accompagnement juridique rigoureux permet de transformer la souffrance en reconnaissance, et d'obtenir la juste indemnisation des conséquences d'un accident souvent évitable.
Contact
Vous êtes victime d'un AVC mal pris en charge ?
Le Cabinet CONSOLIN ZANARINI Expert en réparation du dommage corporel, vous accompagne dans vos démarches d'indemnisation.